La fermière à la cuisse volante

Dans la France profonde vivait une fermière,
Qui portait un chignon à ravir les coeurs,
Sa poitrine était digne d'une vache laitière,
Tant elle était grosse et pleine de saveurs,

Son chemisier était à presque déboutonné,
Pour laisser voir ses formes aguichantes,
Elle ne voyait guère plus loin que son nez,
Et son langage montrait un coeur d'amante,

Elle était pourtant mariée à un être heureux,
Mais lui,la laissait bien faire tous ses ébats,
Il entendait pourtant les cris de tous ces gueux,
Qui s'occupaient d'elle du haut jusques en bas,

Elle s'était vite fait une très grande réputation,
Dans les hameaux allentours,c'était la « putain »,
Elle n'a jamais eu de mâle avec amputation,
Car ses cavernes velues avaient un grand destin,

Elle aimait de forts membresdans son entrejambes,
Sa grotte était fouillée dans toute sa profondeur,
Par ces étalons très férus qui souvent enjambent,
Si bien leurs montures avec beaucoup d'ardeur,

Que de jouissances elle paraissait connaître,
On entendait des cris perçants dans la nature,
Si bien qu'elle n'envoyait jamais,ho non,paître,
Même des gamins pas encore vraiment murs,

Mais un jour quelle ne fut la grande surprise,
Elle resta coïncée avec un mâle qui était fort,
Le SAMU,d'une piqûre au milieu de la frise,
Fit que son enchevêtrement cessa d'abord,,,